“Mr le pharmacien, j’ai mal”...
“Trucs et astuces” supplémentaires:
- Utiliser d’abord l’antalgique le moins puissant adapté à l’intensité de la douleur- Eviter toute sédation excessive- Identifier les patients à risque et les informer- Reconnaître la survenance d’effets secondaires et proposer une alternative raisonnée- Ne pas utiliser un placebo pour déceler une douleur psychogène- Connaître les doses équianalgésiques lorsqu’on change de médicament- Apprécier l’échec thérapeutique pour orienter le patient à temps vers son médecin